13ème édition
9 ET 10 OCTOBRE 2024
Paris - Porte de Versailles Hall 2.2

Le salon des solutions et applications mobiles

Pour réduire le TCO de vos terminaux, investissez dans des modèles durcis !

Dans une étude réalisée par IDC pour Panasonic afin de mieux évaluer les coûts pour les entreprises des dégâts et pannes liés à leurs PC portables, tablettes et terminaux de poche, on apprend que 18 % des PC portables d'une entreprise exigent une opération de réparation au cours d'une année. Et que tout cela coûte finalement très cher. 

La plupart de ces réparations sont dues à des dommages accidentels. Les chiffres des réparations pour les tablettes (16 %) et terminaux mobiles (14 %) sont moins élevés, mais restent conséquents. Á cela s'ajoute le risque de panne qui, pour les PC portables, se situe autour des 11 % lors de la première année. Cette probabilité est presque doublée à la cinquième année, où elle atteint 21 %. Pour les tablettes, ce taux est de 13% la première année et de 19 % après cinq ans. 

Sans surprise, les composants les plus souvent endommagés pour les PC portables sont l'écran, le clavier et le support de stockage (disque dur ou SSD). Pour les tablettes, c'est aussi l'écran qui trinque, suivi des ports ou connecteurs, et enfin le châssis extérieur. 

Les personnes interrogées disent avoir dépensé en moyenne 1 230 euros par PC portable non durci et 1 849 euros par PC portable durci. Mais en observant les taux annuels de panne des appareils, ainsi que le coût moyen de réparation par incident estimé á 3 175 euros, on constate que le retour sur investissement des appareils durcis est atteint lors de la deuxième année de possession d'un appareil non durci. Cette chronologie est largement comprise dans le cycle moyen de renouvellement du PC, établi à deux ans et huit mois selon les réponses des interrogés.

Pour les tablettes, la différence de coût entre appareils durcis et non durcis est moins marquée que pour les PC portables, mais les bénéfices de l'achat d'un modèle durci apparaissent rapidement. Les interrogés déclarent une dépense moyenne de 1 162 euros pour les tablettes non durcies contre 1 534 euros pour les tablettes durcies. Avec un coût moyen de réparation estimé à 2 292 euros, l'investissement est rentabilisé au bout d'un an seulement.

En ce qui concerne les smartphones et terminaux de poche, le prix moyen des modèles non durcis est de 754 euros, contre 872 euros pour les terminaux durcis. Compte tenu du coût moyen de réparation estimé à 2 874 euros pour cette catégorie, le ROI peut raisonnablement être attendu après la première année.

In fine, « certes, un équipement durci représente une dépense de départ plus importante, mais si l'on considère les économies qu'il représente en termes d'immobilisation du personnel, de mobilisation du service informatique et autres coûts annexes, un investissement dans un terminal durci de haute qualité pourrait rapporter des intérêts pendant des années » conclut Jan Kaempfer, Directeur Général du Marketing Europe pour Panasonic Computer Product Solutions.

Source : http://www.itchannel.info/articles/169695/reduire-tco-terminaux-investissez-modeles-durcis.html?key=a1cf104ba7f260b4